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Category Archives: Communication / Médiation

La place de l’ainé dans le divorce de ses parents.

La situation de l’ainé dans le divorce de ses parents n’est généralement pas une place à envier. En pense souvent que l’enfant ainé est plus à même de comprendre et d’assumer les situations de divorces de ses parents. Et pourtant !

On pense trop souvent que l’ainé est capable de comprendre en raison de son âge et de sa position dans la famille et par rapport à ses cadets. Les parents lui font des confidences, lui raconte ce qu’il se passe. L’enfant ainé n’est ni un ami, ni un confident et les secrets ne doivent pas être son fardeau quotidien. Les parents ont une tendance à protéger le cadet, même si sa situation n’est pas la meilleure non plus et qu’il ne possède pas les mêmes privilèges que son aîné. Mais généralement, l’ainé prend généralement de plein fouet, et sans protection, tous les inconvénients de sa position d’ainé.

Le fait de ne pas protéger l’ainé, dans la situation de divorce de ses parents, peut généralement produire différents sentiments :

  • Celui d’avoir de fortes responsabilités face à ses parents. Le parent qui se confie à son ainé met généralement l’enfant dans une posture où il croit qu’il peut agir pour lui. Par conséquent, l’enfant pense pouvoir réussir les missions qui lui sont confiées et développer un sentiment d’échec car il n’a pas les compétences et les moyens nécessaires pour réussir ces tâches.

  • Peu importe l’âge de l’ainé, il se sent responsable dans la protection de son cadet face au conflit de ses parents. La maturité de l’ainé se développe plus rapidement en raison de la situation de conflit et se positionne en tant que « tampon » entre ses parents et son cadet, en évitant les détails de la situation. Cette exposition fait que l’ainé grandit plus vite qu’il ne le devrait et créé un décalage entre lui et son cadet, ce qui engendre généralement un isolement face à la fratrie.

  • Au contraire, l’ainé peut développer son agressivité face à son cadet à cause de la situation et de l’environnement qui l’entoure. Cette agressivité peut être apparenté à de la jalousie envers son cadet. Le fait de grandir trop vite peu jouer sur son comportement en se justifiant par le fait qu’il se demande pourquoi lui ne peut pas rester un « enfant », contrairement à son cadet, alors qu’il n’est lui même qu’un enfant. Cette situation s’accentue avec le fait que le cadet développe de la jalousie envers son ainé en raison des faveurs accordées et l’ainé développe de la jalousie envers son cadet en raison des bénéfices du petit protégé.

  • L’enfant se créé une carapace et une hyper-vigilance qui lui permettent de le protéger des dangers conflictuels et repousse encore plus son statut d’enfant. En raison de sa proximité avec les conflits de grandes personnes (tristesses, confidences, etc.), il se sent obliger d’aider ses parents mais aussi son cadet. Cette hyper-vigilance développée va lui permettre d’éviter les problèmes et les souffrances. A partir de ce constat, l’enfant va développer des angoisses en voyant le danger partout et perdre la naïveté de leur enfance, et va s’épuiser lentement en essayant de trouver une solution à tout.

  • L’ainé peut aussi développer un aspect de « loyauté » envers l’un des parents, en raison des responsabilités qui lui sont confiées par le parent. Par conséquent, il peut, par esprit de loyauté, refuser le nouveau compagnon de l’autre parent, en le critiquant, le rejetant, ne l’écoutant pas, etc. pour ne pas perdre ses avantages.

 

 

Au travers de ces arguments, on voit que la condition d’un ainé n’est pas à désirer lors de la séparation de ses parents. L’important ici est de ne jamais mêler ses enfants à la séparation, peu importe l’âge.

Et si dans un monde idéal, un divorce n’était pas l’occasion de se déchirer ?

 

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Le mensonge : Pourquoi l’enfant ment ?

Le mensonge chez l’enfant peut être bénin de temps en temps. Cependant, les parents peuvent facilement être préoccupé par le comportement de leurs petites têtes blondes. Pourtant, le mensonge n’est pas n’est pas si catastrophique que ça. A cet âge où les enfants entrent dans une phase de développement, le mensonge peut être caractérisé de différentes manières.

Pourquoi les enfants mentent-ils ?

Le mensonge chez l’enfant peut-être caractérisé par différentes approches. Le mensonge de l’enfant peut être simplement un « plaisir » qui se s’explique notamment comme un jeu. On constate généralement ce comportement chez l’enfant autour de 4 ou 5 ans. Ce rôle de jeu chez l’enfant peut être catégorisé comme un univers théâtral, la conception de son monde fantastique. De cette manière, l’enfant peut incarner tel ou tel personnage et ainsi développer son propre imaginaire. Cette approche du mensonge diminuera au fur et à mesure que l’enfant saura faire la différence entre imaginaire et réalité.

Le mensonge chez l’enfant peut aussi se définir comme la peur de se faire gronder par ses parents suite à une bêtise qu’il aurait pu faire. Il peut aussi être considéré comme l’envie de ne pas avoir envie de réaliser une tâche à la maison.

Autre facteur lié au mensonge de l’enfant, celui du besoin de plaire ou impressionner son entourage. Où, au contraire, cacher une certaine angoisse et dissimuler une fragile estime de soi.

En tant que parent, il est nécessaire pour vous de prendre en considération les mensonges de vos enfants pour ce qu’ils sont. Ce comportement alors être une véritable source d’apprentissage plutôt qu’un problème. La vérité est une pratique qu’il s’apprend doucement, avec le temps. Il faut donc prendre le temps, avec son enfant, de lui expliquer que le mensonge peut blesser les personnes (même si c’est aussi le cas pour l’honnêteté, mais c’est un autre sujet).

Le mensonge se caractérise de différentes manières en fonction de l’âge de chacun :

  • Entre 6 et 12 ans, le mensonge peut être utilisé comme un moyen de se couvrir d’une bêtise faite comme un retard.

  • Entre 13 et 18 ans, l’âge ingrat vous diront certains, c’est la période de la puberté, de la recherche d’indépendance, la période où l’on organise ses premières booms ou encore les premières « vraies » sorties entre copains.

Quelles réactions face au mensonge ?

Avant de prendre des décisions hâtives au risque de perdre la confiance de son enfant, il est important de suivre quelques conseils pour encourager l’enfant à dire la vérité :

  • L’écoute : Créer un climat de confiance autour de l’enfant et ne portez pas de jugement moral.

 

  • Différencier l’imaginaire et la réalité autant de fois que possible pour lui faire comprendre que le mensonge n’est pas la réalité.

 

  • Trouver des solutions plutôt que de réprimander.

 

  • Montrer et expliquer qu’il est plus important de dire la vérité plutôt que de mentir et mettant en avant que dire la vérité permet d’accroitre la confiance des uns envers les autres.

 

  • Valoriser l’expression de la vérité en mettant en avant qu’il est mieux d’être honnête. La satisfaction de l’enfant à faire plaisir se fera ressentir et changera son opinion entre vérité et mensonge.

 

  • Les parents sont les modèles des enfants, il est donc important de montrer les bons exemples.

A partir de quand le mensonge peut-être considéré comme problématique ?

Les mensonges de nos petites têtes peuvent aussi être le signe d’un problème plus grave qu’il est important d’identifier. Si l’enfant ment et que ses mensonges ne sont pas en adéquations et que l’aspect de « bien et mal » lui sont totalement … C’est qu’il est peut-être nécessaire de contacter un professionnel pour identifier le problème.

Différentes situations peuvent être à l’origine des mensonges de l’enfant. La séparation et la garde alternée sont potentiellement l’un d’eux. La différence de styles d’éducation, laxisme et autoritarisme par exemple, la confusion peut naitre chez l’enfant.

Facilitez l’organisation de vos gardes alternées et partagez toutes les informations importantes autour du bien-être de votre enfant en utilisant notre outil.

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Les vingt demandes d’un enfant de parents séparés.

Cette lettre d’enfant de parents séparés date d’il y a un petit moment déjà, mais elle est, de notre point de vue, toujours d’actualité.

C’est pourquoi nous vous partageons les vingt demandes d’un enfant de parents séparés :

 

Chère Maman,  Cher Papa ,

N’oubliez jamais : je suis l’enfant de vous deux . Maintenant, vous ne vivez plus ensemble, mais j’ai besoin aussi bien de l’un que de l’autre.

Ne me demandez pas si j’aime plus l’un ou l’autre. Je vous aime tous les deux tout autant. Ne critiquez donc pas l’autre devant moi. Car cela me fait mal.

Aidez-moi à maintenir le contact avec celui d’entre-vous chez qui je ne suis pas. Formez son numéro de téléphone pour moi, ou écrivez-moi son adresse sur une enveloppe. Aidez-moi, à Noël ou à l’occasion de son anniversaire, de lui confectionner ou de lui acheter un beau cadeau. De mes photos, faites-en toujours une copie pour l’autre.

Conversez comme des adultes . Mais conversez. Et ne m’utilisez pas comme messager entre vous – encore moins pour des messages qui rendront l’autre triste ou furieux.

Ne soyez pas triste quand je vais chez l’autre. Celui que je quitte ne doit pas penser que je ne l’aimerai plus d’ici quelques jours. Je préférerais toujours être avec vous deux. Mais je ne peux pas me couper en deux – seulement parce que notre famille s’est déchirée.

Ne prévoyez jamais rien durant le temps qui m’appartient avec l’autre. Une partie de mon temps est à ma Maman et à moi; une partie de mon temps est à mon Papa et à moi. Soyez compréhensifs.

Ne soyez ni étonnés ni fâchés quand je suis chez l’autre et que je ne donne pas de nouvelles. J’ai maintenant deux maisons. Et je dois bien les distinguer – sinon je ne m’y retrouve plus du tout. Ne me passez pas à l’autre , à la porte de la maison, comme un paquet. Invitez l’autre pour un court instant à l’intérieur et conversez . Quand je suis recherché ou ramené, laissez-moi un court instant avec vous deux. Ne détruisez pas ce moment en vous fâchant ou vous disputant.

Laissez-moi être ramené par quelqu’un d’autre de la Maternelle ou de chez des amis si vous ne pouvez supporter le regard de l’autre.

Ne vous disputez pas devant moi . Soyez au moins aussi poli que vous le seriez avec d’autres personnes, comme vous l’exigez aussi de moi.

Ne me racontez pas des choses que je ne peux pas encore comprendre. Discutez-en avec d’autres adultes, mais pas avec moi.

Laissez-moi amener mes amis chez tous les deux. Je souhaite qu’ils puissent connaître ma Maman et mon Papa et les trouver sympa.

Mettez-vous d’accord au sujet de l’argent. Je ne souhaite pas que l’un en ait beaucoup et l’autre très peu. Il faut que ce soit bien pour tous les deux, ainsi je pourrai être à l’aise chez tous les deux.

N’essayez pas de m’habituer à la surenchère. De toutes les façons, je ne pourrais jamais manger tout le chocolat que j’aimerais.

Dites-moi franchement s’il vous arrive de ne pas pouvoir boucler le budget. Pour moi, le temps est bien plus important que l’argent. Je m’amuse bien plus avec un jouet simple et comique qu’avec un nouveau jouet.

Ne soyez pas toujours « actifs » avec moi. Cela ne doit pas toujours être quelque chose de fou ou de neuf quand vous faites quelque chose avec moi. Pour moi, le plus beau c’est quand nous sommes simplement heureux en train de jouer et que nous ayons un peu de calme.

Laissez le plus possible de choses identiques dans ma vie, comme c’était avant la séparation. Cela commence par ma chambre, ensuite sur les petites choses que j’ai faites tout seul avec mon Papa ou ma Maman.

Soyez aimable avec les grands-parents. Ils m’aiment et je les aime, ils veulent aussi être à mes côtés. Vous seriez aussi à mes côtés si je n’allais pas bien ! Je ne veux pas perdre, en plus, mes grands-parents.

Soyez « fairplay » avec le nouveau compagnon que l’un d’entre-vous rencontre ou a déjà rencontré. Je dois aussi m’entendre avec ces autres personnes. Je préfère quand vous ne vous espionnez pas jalousement l’un l’autre. Ce serait de toute façon mieux pour moi si vous rencontriez rapidement tous les deux quelqu’un que vous aimiez. Vous ne serez plus aussi fâché l’un envers l’autre.

Soyez optimistes. 

Vous n’avez pu gérer votre couple, mais laissez-nous au moins le temps que cela se passe ensuite bien. Relisez toutes mes demandes

Peut-être en discuterez-vous. Mais ne vous chamaillez pas. N’utilisez pas mes demandes pour faire des reproches à l’autre, aussi mal qu’il ait pu être avec moi ou que vous ayez cru qu’il le soit.

Si vous ne faites pas cela, vous n’aurez pas compris comment je me sens et ce dont j’ai besoin pour me sentir heureux.

source : jafland

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La garde alternée au coeur de l’actualité

Le sujet de la semaine dernière, traitée par de nombreux medias tels que RMC, le Nouvel Obs ou encore l’Express, pour n’en citer que quelques-uns, ont abordé l’univers de la garde partagée. 

Et ce, suite à une étude rapportée par le Ministère de la Justice spécifiant que les décisions de Juges en faveur de la garde alternée des parents séparés ont quasiment doublés en 10 ans. Les statistiques montrent qu’entre 2003 et 2012, le pourcentage de garde alternée entre parents séparés a pris 9 points passant de 12 % à 21 % pour l’année 2012.

Pour décrire la réalité de la garde alternée aujourd’hui, disons que c’est :

  • Un enfant de parents séparés sur cinq qui vit dans un mode de garde alternée ;
  • 17 % des enfants de parents divorcés ou séparés vivent en garde alternée ;
  • En 2012, ce sont 126.000 décisions de justices autour de la garde des mineurs qui ont été rendues, soit environ 200.000 enfants.
  • 69 % des décisions rendues en terme de résidence sont prononcées en faveur de la mère (chiffres en baisse puisqu’ils étaient à 78 % en 2003).

On constate que le mode de résidence dépend généralement de l’âge des enfants. On peut voir que la résidence alternée n’est que très rarement accordée lorsque l’enfant à moins de 2 ans (5 % d’enfants environ). Concernant les enfants entre 6 et 10 ans, le pourcentage des décisions en terme de garde alternée grimpe à 21 % puis baisse à 15 % pour les 15 – 17 ans.

Pour les pères, on peut voir une stagnation quant à la garde alternée puisque la résidence partagée passe de 7 % en 2003 à 6 % en 2012.

Chose aussi importante à mettre en avant, le nombre de pensions alimentaires fixées par le juge. Ce chiffre est en baisse constante puisqu’elle est passée de 70 % en 2003 à 65 % en 2012.

Cette semaine, l'actualité c'est concentrée sur la garde alternée suite à l'étude donnée par le Ministère de la Justice concernant les chiffres de la garde alternée.

Cette semaine, l’actualité c’est concentrée sur la garde alternée suite à l’étude donnée par le Ministère de la Justice concernant les chiffres de la garde alternée.

Un retour sur l’actualité, autour de la garde alternée, couverte par les journaux

Dans son article du 27 janvier 2015, le Nouvel Obs décrypte les chiffres relatifs autour de la garde alternée des enfants de parents séparés ainsi que des décisions de justices rendues ces dernières années. Pour aussi mettre en avant le principe de la garde alternée, le Nouvel Obs a souhaité présenter le témoignage touchant d’une jeune fille qui a vécu la garde alternée avec ses parents. Elle retrace pour vous son vécu et son quotidien de la garde alternée. Pour confronter cet avis et montrer un autre point de vue, le Nouvel Obs a aussi souhaité exposer l’avis d’un papa et du combat qu’il a mené pour obtenir la résidence partagée avec son ex-conjoint.

RMC, a réalisé dans sa matinale, Bourdin direct, du 28 janvier 2015, une chronique, de 4h30 à 6h, pour traiter du sujet de la garde alternée en faisant témoigner des individus. Chacune des personnes ayant témoigné, sur la thématique de la garde partagée, a pu apporter son point de vue ainsi que son vécu dans la résidence alternée. Le sujet de la résidence alternée a été abordée avec l’échange entre Jean-Jacques Bourdin et Jean Latizeau, président de l’association « SOS Papa ».

Le journal l’Express, quant à lui, avait déjà traité du sujet de la garde alternée en faisant témoigner Pierrick, un papa qui se bat pour avoir la garde de sa fille. Un papa qui s’est fait débouter de toutes ses demandes de gardes alternées et qui a livrer une approche très intéressante d’un père en colère. De plus, dans la continuité du sujet de la garde alternée, l’Express met aussi en avant les statistiques rendues par le Ministère de la Justice.

Et vous qu’en pensez-vous ? N’hésitez pas à nous faire part de votre expérience ! Quels témoignages et/ou points de vues concernant la garde alternée souhaiteriez-vous exposer ?

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Réorganisez votre famille après un divorce ou une séparation.

Aider les familles à se réorganiser avec les bons outils.

La transition de la relation intime et chargée d’émotions, que vous aviez avec votre conjoint(e), à l’établissement d’une nouvelle relation entre co-parents peut être une tâche très difficile. A présent, au lieu de concentrer ses efforts dans une relation intime, les efforts doivent être focalisés pour une plus grande part sur la réponse aux besoins de l’enfant. Le plus important ici est de se concentrer sur la réorganisation de votre famille après un divorce ou une séparation grâce à un planning judicieusement établi et « vivant ». Un planning efficace devrait vous aider à organiser votre vie et celle de votre entourage familial.

Bien que vous et votre ex-conjoint(e) pouvez avoir des différends non réglés dans votre relation, vous possédez une chose très importante en commun, votre enfant. Il est important de tenir l’enfant le plus possible à l’abri de vos différends personnels, et ce afin de mieux se concentrer sur ses besoins d’enfant.

L’une des tâches les plus difficiles dans la transition d’une union à une séparation ou un divorce est de mettre de côté ses sentiments négatifs envers l’autre. Par ailleurs il est à noter que cette transition est généralement beaucoup mieux vécue si un planning efficace est mis en œuvre et ce afin de ne pas cumuler les occasions de raviver des points sensibles en « cicatrisation ».

Réorganisez votre famille après un divorce ou une séparation.

Or, réorganiser votre famille et son rythme de vie, après un divorce ou une séparation, est tout à fait envisageable. Ce processus commence souvent par la réunion des deux parents séparés assis autour d’une table discutant à la construction d’un planning viable pour eux-mêmes et leur enfant. Cette organisation d’un planning initial et de ses règles conjointement acceptées de modification est aussi une bonne première étape vers la re-normalisation du dialogue de réconciliation lorsque les parents se sont séparés en mauvais termes.

L’intérêt de l’exercice est pour chacun de concentrer ses efforts sur le bénéfice et le bien-être de l’enfant. Et ce, en organisant au mieux les phases de transitions auxquelles l’enfant va être soumis entre chacun des foyers co-parentaux afin d’en diminuer le stress. Le principal avantage d’un planning structuré pour cette transition est qu’elle permet aux parents séparés de définir un calendrier clair et compréhensible de garde alternée, ce qui peut aussi permettre que toute la famille puisse le suivre dans les meilleures conditions.

Les avantages de l’application planning en ligne de Family Facility pour l’organisation.

Il existe d’innombrables avantages qu’un planning en ligne peut apporter aux parents séparés ou divorcés. La réorganisation de votre système familial après la séparation ou le divorce est une étape essentielle dans le processus de démarrage de votre nouvelle vie en tant que coparent. Un planning bien écrit et organisé permet d’assurer que toute la famille y trouve exactement ce dont elle a besoin, en particulier pour l’enfant. Travailler conjointement à l’élaboration de ce planning permet d’en développer les avantages communs.

L’objectif final, lié à la construction du planning en ligne de Family Facility est de diminuer les conflits entre les parents séparés et les familles. Le tout étant d’accepter de fonder ce travail de planification sur le bien-être de l’enfant et de ses parents, sans l’exposer aux problèmes et conflits des adultes. Family Facility offre dans ce cadre un outil mettant en œuvre un programme de garde clair, des moyens de communication facilités, le tout afin d’éviter les querelles inutiles.

 

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Garder contact avec la famille des parents séparés, pourquoi ?

Il n’y a rien de plus important et réconfortant que la famille. Ce sentiment de bienveillance fort auquel tout le monde peut se raccrocher. Après un divorce ou une séparation, ces sentiments peuvent commencer à disparaître. Les parents séparés ou divorcés sont souvent confrontés à des problèmes pour maintenir une relation avec les deux côtés de la famille des parents séparés. Un divorce ou une séparation peut susciter beaucoup de tensions et de conflits entre les membres des deux familles.

Peu importe les sentiments que vous éprouvez pour l’autre famille du parent séparé, il est important de garder à l’esprit que si vous restez en contact avec eux, c’est dans l’intérêt de l’enfant.

Décider de poursuivre ou non une relation de proximité avec les familles des parents séparés, ça se décide.

Il n’y a pas de réponse définitive à la question de savoir si oui ou non vous devriez essayer de maintenir une relation avec les deux côtés de la famille. Avant de prendre une décision, il est important de faire un « état des lieux » de la situation. Vous devez d’abord chercher à percevoir votre propre situation dans son ensemble et tenir compte de tous les avantages par rapport aux inconvénients.

Garder contact avec la famille des parents séparés, pourquoi ?

Mais le plus important reste le point de vue de l’enfant. Mettez-vous à sa place :

  • Est-ce que l’enfant à une relation forte avec ses grands-parents, ses oncles et ses tantes de l’autre côté de la famille du parent séparé ?

  • Comment l’enfant réagirait si ses relations étaient entravées avec la famille du parent séparé ?

Si vous avez déterminé qu’il était dans l’intérêt de l’enfant de maintenir et développer ces relations, alors vous devez également déterminer si, oui ou non, vous êtes capable de maintenir ces relations vous-même.

Le maintien d’une relation avec les deux côtés de la famille des parents séparés peut devenir très compliqué. La séparation ou le divorce laisse presque toujours subsister des tensions venant des deux côtés de la famille. Cette situation peut exercer beaucoup de pression sur vous. Il est important pour vous de déterminer si ces complications rendront le maintien de ces relations trop difficile, ou si vous serez en mesure de gérer.

Il se peut que, dans certains cas, le maintien de cette relation et de cette proximité soit hors de question. Certaines familles ne disposent pas des liens très forts avec la famille de l’autre coparent où ne veulent pas faire l’effort d’entretenir ces relations. Si vous êtes, vous et l’enfant, forcés de maintenir une relation avec l’autre côté de la famille, celle-ci ne vous apportera pas le surplus de bien-être que vous en espériez.

Conseils pour maintenir une relation avec les deux côtés de la famille

Si vous et votre ex-conjoint pensez que le maintien de ces relations est très important pour l’enfant, certaines doivent s’inscrire dans une certaine régularité pour préserver des relations saines et solides.

  • Etablissez une certaine « routine » dans le contact avec la famille de votre ex-conjoint, notamment pour les jeunes enfants

  • Gardez une attitude positive dans les conversations liées à votre ex-conjoint et sa famille. Cela vous aidera, ainsi que votre enfant, à maintenir une relation saine avec eux.

  • Incluez la famille de l’autre parent dans l’organisation de journées spéciales liées à l’enfant (anniversaires, événements d’école, compétitions, etc.).

La communication claire et sincère est essentielle pour maintenir une relation avec les deux côtés de la famille. Cela peut être une tâche assez difficile et ardue par moment, mais la préservation de ces relations se révèle souvent très importante pour le bien-être de l’enfant.

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Vous et votre ex-conjoint avez besoin de travailler ensemble pour le bien-être de l’enfant.

« Mais papa a dit que je pouvais ! » Conseils parentaux pour les parents séparés »

« J’ai demandé à maman et elle est déjà d’accord pour que je sorte avec mes amis ce soir. »

« Mais papa veut que je fasse mes devoirs avant de jouer à des jeux vidéo! »

Cela vous semble familier? L’autorité parentale de part et d’autre d’un ménage séparé peut être un véritable défi. Collaborer, malgré la séparation et les conflits, reste souvent un travail difficile pour les parents divorcés mais toujours un acte profitable aux enfants. A titre d’exemple, l’un des plus grands défis dans l’organisation des gardes partagées est celui des différences de styles dans l’exercice du rôle de parent, et en particulier quant à l’approche de la discipline.

Vous et votre ex-conjoint avez besoin de travailler ensemble pour le bien-être de son enfant

Fixer des limites et expliquer les conséquences est essentiel pour la santé et le développement de ses enfants. En effet pour se développer, les enfants doivent pouvoir identifier la structure, la cohérence et les limites de leur environnement. Fixer des limites est une aide précieuse pour les enfants afin qu’ils se sentent en sécurité. Cela contribue aussi à façonner l’esprit critique dont ils ont besoin pour réussir à l’école et dans la vie.

Mais qu’advient-il lorsque, ayant des parents séparés, les enfants apprennent différentes leçons sur les limites et les conséquences de leurs agissements ? Ceci va les placer dans la nécessité de gérer de véritables défis en puisant dans les derniers retranchements de ses parents et des proches.

« Est-ce que mon fils commence à préférer la maison de maman? »

« Est-ce qu’il apprend mieux à la maison que chez papa? »

Autant de questions qui traduisent alors les vulnérabilités des parents séparés et qui peuvent rapidement être la source d’une colère ou d’un ressentiment qui vont encore élargir le vide entre eux, ou les inciter à gagner la faveur des enfants par l’assouplissement des règles dans leur propre maison.

Cependant, avoir deux maisons, avec des adultes aimants et attentionnés, peut aussi ouvrir de nouveaux horizons à l’enfant. Voici quelques conseils pour assurer à l’enfant le vécu serein d’un cercle familial et l’aider à prospérer :

Essayer d’être sur la même longueur d’onde entre les parents séparés :

  • Mettre en place des réunions pour parler des attentes de chaque parent, les approches mais aussi les limites et les conséquences de chaque prise de décision. C’est une façon de travailler en accord malgré la séparation. Il est par ailleurs important de veiller à ce que ses réunions se mettent en place lorsque les conflits ne sont pas actifs.

  • Ne pas instaurer le principe de : « du gentil et du méchant » en croyant améliorer le développement de son enfant. Car à long terme, cette dynamique se traduit généralement par des enfants parfaitement capables d’obtenir ce qu’ils veulent de chacun des parents en dehors de la présence de l’autre.

  • Rappelez à son ex-conjoint que les réunions se tiennent pour le bien-être de l’enfant, et qu’elles ne constituent pas des faveurs accordées au parent dont on s’est séparé. Il est important de garder les besoins de l’enfant au centre de la conversation et de minimiser l’impact des conflits en cours entre parents.

  • Si aucun des parents séparés n’est en mesure d’avoir une conversation civilisée ou productive, il est possible d’envisager de faire appel à un médiateur extérieur. Une personne formée, apte à intégrer le développement de l’enfant et pouvant aider chacun des parents séparés :

    • A comprendre comment utiliser ses points forts pour aider l’enfant

    • A contribuer au mieux à l’épanouissement de l’enfant dans chacun des ménages.

  • Généralement, les parents séparés éprouvent des difficultés à se mettre d’accord sur tout, et il n’est pas possible d’anticiper tous les scénarii. L’important est de s’attaquer aux points et préoccupations principaux pour travailler sur des questions clés. Il est primordial de ne pas se battre sur des points insignifiants au regard du bien-être de l’enfant.

Aidez l’enfant à s’adapter à des règles différentes

  • Généralement, les parents séparés doivent encore plus veiller à trouver des terrains d’accord en ce qui concerne l’enfant. L’objectif ici est d’aider l’enfant à s’adapter aux différentes règles (scolaires, grands-parents, nounou, etc.).

  • Être capable de faire comprendre à l’enfant les différences entre les lieux de résidence des parents séparés et trouver des occupations adaptées de part et d’autre aux besoins de l’enfant. « Le dimanche, chez maman, Camille regarde la télé, mais chez papa, ce sont des activités à l’extérieur ? »

  • Éviter les luttes de pouvoir.

  • Ne jamais dénigrer ouvertement ou porter un jugement sur l’ensemble de règles de l’autre parent devant son enfant. « Je sais que votre mère vous permet de rester plus tard et nous vous aimons tous les deux, mais nous ne le faisons différemment. Dans cette maison, l’heure du coucher est 20h. « 

  • Être patient et cohérent vis-à-vis de l’enfant afin qu’il découvre et s’adapte à des règles qui sont différentes chez chacun des parents. Plus cohérent vous serez, plus vite l’enfant comprendra que dans chacune des maisons, les règles sont différentes.

  • Créer des « routines familiales », ces petits comportements prévisibles qui aident l’enfant à comprendre et pratiquer les règles. Par exemple, au lieu de la lutter contre les téléphones portables de ses filles à tous les repas, mettez-les dans un panier avec le vôtre avant de commencer le repas et proposez plutôt de discuter.

Les bonnes pratiques avec les enfants.

  • Tous les enfants, que leurs parents soient divorcés ou non, vont pousser les limites au maximum. Voilà leur jeu! Mais il n’en demeure pas moins qu’il est de votre devoir de définir ces limites.

  • Si le divorce est nouveau, l’enfant est encore plus enclin à vouloir tester les limites et à jouer avec vos émotions. Il faut néanmoins veiller à faire de son mieux pour rester calme, cohérent et reconnaître les comportements positifs que peut avoir l’enfant. Il est important de passez du temps avec lui et de le réconforter. Si l’enfant est plus âgé, il faudra trouver des façons plus créatives de rester connecté.

  • Être ferme et cohérent ne signifie pas être autoritaire et déraisonnable. Écoutez les sentiments et les opinions de l’enfant. Participez à la négociation lorsque celle-ci semble logique et correctement formulée.

  • Préservez les règles que vous avez définies, tout en veillant à ce qu’elles ne viennent pas interférer dans celles de l’autre parent.

  • Nous faisons tous des erreurs. Soyez prêt à présenter des excuses à l’enfant si vous avez dit en face de lui quelque chose que vous regretterez ou qui est en contradiction avec vos règles.

  • Obtenez de l’aide et parler à d’autres parents. Les amis et la famille sont autant de points d’appuis à propos des défis et des frustrations que vous rencontrez. Ainsi, il sera moins probable que ces sentiments émergents en face de vos enfants.

  • Céder à vos enfants pour gagner leur amour ou essayer d’être leur ami pendant une période de transition est susceptible de se retourner contre vous. Les enfants se sentent plus en sécurité lorsque vous êtes le parent et que vous vous positionnez en tant que tel.

N’oublions jamais que l’intérêt des enfants doit nous aider à rendre fertile la citation de Sacha GUITRY « Un moment nous avons vécu côte à côte. Plus tard nous fûmes dos à dos. À présent nous voilà face à face »

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4 façons d’assurer le succès, à longue distance, de la co-parentalité.

Dans un monde idéal, après une séparation ou un divorce, les deux parents d’une famille chercheraient à rester peu éloignés en voiture d’une maison à une autre. Mais les enfants vivent en des temps difficiles, car les parents séparés déménagent, généralement, loin. Et pour un enfant, perdre sa maman ou son papa peut-être une situation difficile. Toutefois, les changements dans la vie ne permettent pas toujours aux parents séparés de rester sur place. Si vous et votre ex-conjoint avez une entente de garde partagée, et que l’un de vous doive déménager dans un autre département ou un autre pays, il existe des moyens pour faire fonctionner cette garde partagée.

4 façons d'assurer le succès, à longue distance, de la co-parentalité

Créer d’une planification et s’y tenir

Etablir un calendrier solide de temps des visites est une bonne première étape. Les enfants apprennent à faire confiance à leurs parents dès leur plus jeune âge, et les parents doivent les aider à maintenir cette confiance en veillant à conserver des relations régulières. Vous ne pouvez pas toujours être en mesure d’être physiquement avec vos enfants à chaque match de football ou à chaque cours de danse, mais vous pouvez garder un horaire de communication constant et en faire une priorité.

Prenez des notes dans votre calendrier, en ce qui concerne les activités parascolaires et les étapes dans la vie de vos enfants. Quand vous parlez avec eux, montrez de l’intérêt à propos de ces événements. Les jeunes enfants ne disposent pas d’une véritable emprise sur le temps mais ils ne sont pas dénués de mémoire, ils savent très bien lorsque vous n’êtes pas là malgré vos dires. Veillez à les informer immédiatement en cas de problème, et faites-leur savoir combien de temps s’écoulera jusqu’à ce que vous puissiez de nouveau être à leur côté. Si vos enfants savent que vous leurs avez réservé du temps chaque semaine, et que vous tenez toujours vos promesses quand vous dites que vous serez là, ils seront plus enclin à vous faire confiance et à vous considérer comme le référent d’une partie de leur vie.

Si vous êtes le parent avec qui ils vivent la plupart du temps, faites de votre mieux pour être favorable au contact avec l’autre parent. Encouragez vos enfants à appeler le parent le plus éloigné, et travailler à maintenir les liens de communication entre eux. Chacun des outils mis à disposition sur Family-Facility permettent aux parents séparés de les accompagner pour tout cela. Si l’autre parent doit annuler une visite prévue, aider à soulager vos enfants de cette déception en les réconfortant. Essayez de trouver l’occasion d’un nouveau moment, et permettez à vos enfants d’être disponibles quand vous savez qu’ils vont voir ou parler avec l’autre parent.

Profitez de la technologie

Les parents séparés par une longue distance d’aujourd’hui ont un gros avantage sur les générations passées en raison d’une multitude d’innovations dans la technologie qui facilitent la communication. Mettre en place un compte « Skype » et l’utiliser régulièrement pour les discutions avec ses enfants, ou même de lire des histoires au coucher est possible. Les enfants plus âgés qui ont des smartphones peuvent les utiliser pour des discussions vidéo, des messages texte. Les familles peuvent facilement profiter du stockage d’informations pour échanger sur ces dernières, pour vérifier les devoirs des enfants, ou discuter de projets, etc.

Ce ne sont que quelques-unes des petites façons dont vous pouvez rester dans leur vie au jour le jour, même de loin.

Échanger des petits cadeaux quand vous le pouvez

Comme tout parent le sait, les meilleurs cadeaux à donner sont ceux que nous faisons à nos enfants. Offrez de temps en temps à vos enfants le plaisir de recevoir une petite lettre, un montage vidéo, des dessins… Pensez aussi à leur proposer d’écrire des lettres et des dessins à envoyer au parent le plus éloigné. Pour des cadeaux de ce type, pas besoin de dépenser beaucoup d’argents, faites parler votre créativité et celle de vos enfants. Le bénéfice en sera toujours que vos enfants sauront que vous pensez à eux souvent.

Échanger des petits cadeaux quand vous le pouvez

Examiner les modalités dans la co-parentalité

Généralement, il est facile de s’accorder sur le mode de garde alternée lorsque les parents séparés sont proches l’un de l’autre. Toutefois, pour les parents qui vivent éloignés à travers le pays, le scénario est tout autre. Cependant, vous pouvez vous accorder sur des périodes plus précisent qui permettent d’arranger tous le monde comme les vacances, les grands weekend, etc. Le parent qui n’a pas la garde principale pourrait ainsi prendre des dispositions lui permettant passer plusieurs semaines auprès de ses enfants. Il est important à noter, que l’âge des enfants influence beaucoup ces décisions, plus l’enfant deviendra âgé, plus il faudra s’adapter à ses désirs. Maintenir quelques éléments de structure et de normalité est important, il est donc possible pour un des parents séparés de s’arranger pour passer quelques temps dans la ville ou l’enfant réside ordinairement.

Chacune des organisations doit être évaluée au cas par cas. Chaque enfant est différent, et les deux parents séparés doivent travailler ensemble pour répondre aux besoins de leur enfant. Être ouvert à des arrangements de garde uniques permet plus de possibilités pour trouver quelque chose qui fonctionne au regard de toutes les parties concernées.

Malgré la distance, les deux parents doivent faire de leur mieux pour rester au mieux en contact avec le développement de la vie de leurs enfants. Les enfants avec les figures parentales fortes dans leurs vies disposent de bien meilleurs atouts pour évoluer. Garder une communication simple et des visites bien cadrées sont donc des clés majeures du succès parental à longue distance.

 

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Le médiateur peut aider les familles séparées à réduire les conflits et protéger les enfants.

Le médiateur : un accompagnateur pour aider les parents séparés

En tant que médiateur de la famille, il est de notre devoir, d’une part, d’accompagner les parents séparés dans la résolution de leurs différends, et d’autre part, de développer une compréhension de la façon dont leur nouvelle structure familiale va fonctionner.

La médiation peut être relativement facile avec les familles qui veulent s’investir dans la démarche et travailler ensemble, mais elle peut aussi parfois être plus difficile avec les familles qui sont en contradiction avec cette pratique. Avoir un répertoire d’outils pour aider les parents séparés à faire aller les choses de l’avant est important pour le succès de la médiation. A ce titre, le site Family-Facility est un de ces outils fort utiles pour vous et vos enfants.

Médiateur - Aide les parents séparés

Family-Facility, une aide dans la médiation

En utilisant ce site, les parents seront en mesure d’organiser des plannings liés à leurs engagements parentaux, la création d’un référentiel partagé d’informations et de contacts autour de la famille et plus. Cette information est essentielle au développement d’un système solide qui aide les parents séparés et leur évitent d’avoir à aller devant les tribunaux ou de devoir faire appel à des avocats lorsque survient un conflit ; elle peut aussi fournir un cadre plus structuré à la fois pour la médiation et pour la tenue du rôle parental.

Si les parents séparés décident d’utiliser le site, toute l’organisation autour de l’enfant sera sauvegardée sur ce dernier. Ainsi, toutes les personnes dans l’entourage de l’enfant pourront, avec l’accord d’un des parents séparés accéder à une multitude d’outils, de la planification de calendrier en ligne à la gestion des dépenses concernant l’enfant, et ce afin de les aider à le préserver de tout ça.

Plus important encore, si les parents viennent à ne plus s’entendre et laissent transparaitre des différends, toute les informations stockées sur le site permettront de disposer d’une documentation complète en matière de « qui a fait quoi et quand ». Par conséquent, le règlement des différends s’en verra notablement facilité.

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